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Fanfictions françaises sur les groupes d'idoles coréennes en vogue.
 
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 Comme si. (OS)

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Ash

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MessageSujet: Comme si. (OS)   Comme si. (OS) I_icon_minitimeSam 1 Mai - 16:14

Titre : Comme si.

Couple(s) : Lui et Lui. Haha.

Rating : pour tout le monde !

Genre : Shônen Ai / One Shot

Disclaimer : les décors, les faits m'appartiennent... le reste est à Cube Ent. (si on veut...) et eux-mêmes et leurs parents~

Petite note personnelle : ENJOY !

________________


On avait dû m’assommer.
Et me laisser là.
Sous une pluie torrentielle.

Je me réveillai sur le toit du lycée, trempé jusqu’aux os. Assis sur le béton. Dos contre le mur. Du sang dégoulinait le long de mon visage, à partir de l’arcade sourcilière gauche jusqu’à la mâchoire. Je ne ressentais pourtant aucune douleur sur l’égratignure. J’avais simplement un mal de crâne horrible, comme si on continuait de frapper sur ma tête avec une batte de baseball. Et le vent n’arrangeait rien à la migraine naissante, au contraire. J’arrivais tant bien que mal à reprendre conscience, à me relever, à marcher – plutôt ramper oui – jusqu’à la porte. Mais je ne trouvais pas la force pour l’ouvrir et m’abriter de la pluie. Un poids m’empêchait de lever la main et taper quelques coups pour me faire entendre. A quoi ça sert ? À cette heure-ci, il n’y a jamais personne. Jamais personne. Personne.
Je me croyais mort. Je croyais qu’une fois que j’avais fermé les yeux, je ne serais plus capable de les ouvrir à nouveau. Je croyais que je ne pourrais plus tenir sur mes jambes pleines de bleues à cause des coups de pieds à répétition. Je croyais mal. Je croyais en quelque chose qui n’était pas impossibles à envisager, mais je ne trouvais surtout plus l’idée de croire en l’espoir. Mais comment y croire, comment se le faire croire quand on est à bout de force, impuissant, faible et écrasé ? Je me rendis compte que je croyais mal quand je reconnus les gradins, les paniers… le gymnase. Puis quelqu'un entra. Doo Joon.

Je me rappelai le jour de la rentrée au lycée. La première impression qu’il m’avait laissée n’était pas des meilleures. Son visage n’exprimait quasiment aucune émotion, aucune colère, aucune rage, aucun remord, aucune joie. Rien. On était camarades de classe depuis bientôt trois ans et je ne l’avais encore jamais vu sourire, pleurer, s’énerver. Je n’avais même pas prêté une attention particulière à son égard. Mais les autres élèves disaient de lui qu’il était un garçon solitaire, marginal, peu bavard et plein de secrets. Pour les secrets, je n’étais pas sûr que cela soit vrai, mais pour le reste, j’étais plutôt d’accord avec eux. Je ne me souvenais pas avoir entendu Doo Joon demander quoique ce soit à un lycéen. Et il ignorait tout, sauf les professeurs. Il participait sur demande en cours, jamais sur la base du volontariat. Et quand des filles lui couraient après – malgré son caractère – il se contentait de leur dire un petit « désolé, je suis occupé » ou « désolé, ça ne m’intéresse pas ». Jamais cet adolescent ne laissait de l’espoir à quiconque. Il traversait seul les couloirs de l’établissement, les rues de Séoul… Et personne ne cherchait à se battre avec lui. Personne ne cherchait à le connaître – du moins, apprendre à le connaître. On l’ignorait. Et il nous ignorait. Et…

« Tu penses à quoi ? demanda-t-il, le regard vide, sur un ton plat et calme.
— Moi ? Je…
— Toi, coupa-t-il, ouais. Qui d’autre ?
— Je… non, rien… »

Je ne comprenais pas mon comportement. Les picotements au cœur. Les joues qui brûlent. Le souffle coupé. La voix nouée. Et une angoisse. Oui, cette angoisse qui s’incarne par la fameuse montée d’adrénaline. Elle part de l’estomac pour remonter jusqu’au fond de la gorge et nous – je et vous ! – empêche de parler, de trouver les mots à poser pour illustrer, traduire nos pensées. Je ne savais plus où me mettre. Je n’étais pas mort de honte. Ni au bord du gouffre. Mais mal à l’aise, oui.

« Minuit vingt… », murmurai-je.

Le jeune homme tourna la tête. Son visage était toujours aussi inexpressif.

« Garde la veste. MA veste, corrigea-t-il, avec fierté. Tu veux quand même pas choper la crève…
— Doo Joon…
— Ouais ?
— Euh… merci. Merci beaucoup… »

Il m’intimidait.

« De rien… Mais d’où tu me connais, toi ?
— On est dans la même classe, répondis-je.
— Ah… C’est donc toi Dong Wong.
— Woon. C’est Dong Woon. »

Okay.
Puis il ne dit plus un mot.
La pluie n’était pas prête de s’arrêter.
La nuit allait être longue.

« Déjà trois heures…, pensai-je à voix basse.
— Tu peux me passer le sachet qui est dans la poche droite de ma veste, s’il te plaît. »

Doo Joon. On ne l’imaginerait pas poli, bien élevé, calme si on ne demeurait pas dans la même pièce que lui pendant plus de deux heures. Il n’était pas aussi agressif qu’il en avait l’air. En effet, les traits fins de son visage laissaient transparaître plus de haine que d’amour. Mais finalement, Haïr, Aimer, ça veut dire quoi ? Comme si on avait besoin de s’aimer, pour ne plus avoir à supporter toutes les violences du monde et…

« C’est quoi ? » demandai-je, l’air innocent.

Un sachet de marijuana. Il y en avait suffisamment pour un joint. D’une valeur de trente dollars américain, environ vingt-cinq euros français. C’était une explication à ses absences répétées en cours de sport. C’était aussi…

« J’en revends, c’est tout », prétendit-il.

M*rde. Doo Joon devait lire dans mes pensées ! Non. Je l’avais dévisagé, j’avais fixé mon regard sur son visage pendant trop longtemps. Et sans m’en rendre compte, il s’en était aperçu. Mais il n’engageait jamais de conversation sur les substances illicites, l’école buissonnière, les persécutions des lycéens…
L’adolescent mit le sachet dans la poche de son pantalon et s’allongea un instant sur un banc. Il ne trouvait pas le sommeil. Et je lui proposai alors de me raconter comment j’avais pu atterrir dans le gymnase. Il accepta.

« C’est vraiment un truc de con », dit-il en préambule.

Pour la première depuis six ans, il s’était fait piégé. La bande de Jun Hyung – c’était le seul qu’il avait reconnu – et les autres l’avaient forcé à avaler des somnifères. Puis Doo Joon avait repris connaissance dans un couloir du dernier étage. Il était alors vingt-trois heures. Depuis les allées entre les salles, à l’intérieure du bâtiment, on n’avait aucune vue sur l’extérieure. Et c’était une envie « mortelle » de fumer qui l’avait poussé à se diriger vers le toit du lycée, afin de ne pas faire retentir l’alarme incendie. Mais il s’était rendu compte que sa dose de marijuana était restée dans sa veste, à l’intérieure de la salle de classe. C’était en entrant dans la pièce qu’il avait vu la pluie par la fenêtre. Doo Joon avait alors traversé les couloirs de l’école pour trouver une issue et simplement sortir de cette « prison pour petits bourgeois » – il n’avait pas tort : le lycée était privé et fréquenté par des gens de familles assez fortunées pour payer les frais d’inscription et de scolarité. Seulement toutes les portes étaient fermées, sauf celle qui donnait l’accès au toit. Il avait ensuite pensé à passer par l’échelle de secours accessible seulement à partir de là.

« Et c’est là que tu m’as fait pitié », conclut-il, l’air ennuyé par toute cette histoire.

Pitié. Il y avait de quoi en avoir, si on se rappelait l’état dans lequel j’étais. Mais c’était donc seulement ce qu’il avait éprouvé ? Je me demandai alors s’il n’y avait pas d’autres personnes qui avaient pitié de moi, dans la rue, le lycée, le bus… Je n’avais pas souvent utilisé la violence physique pour me défendre des moqueries, des insultes. Je les supportais. Je m’y habituais. Depuis le collège. Parce que je ressemblais à un thaïlandais plus qu’à un coréen alors on me considérait comme une bête de foire, un arriéré, un paria, un élève incapable de se mêler aux autres. En effet, j’en étais incapable, j’étais aussi incapable de les ignorer.

« C’est pas vraiment de la pitié en fait… Ah, et c’est la première fois que je parle autant.
— Vraiment ? » m’étonnai-je.

A partir du collège, il avait commencé à mépriser ses camarades. Il ne voulait plus revivre les humiliations qu’on lui avait fait subir à l’école primaire à cause de ses origines sociales. Doo Joon avait peu de souvenir concernant son paternel et avait grandi seul aux côtés de sa mère – qui travaillait comme femme de ménage. Enfin. L’adolescent n’avait toujours pas oublié le nom de ce camarade qui le persécutait déjà à l’âge de huit ans. Mais ce gamin semblait avoir oublié au fil des années l’identité de son souffre-douleur préféré. Ça paraît tellement évident : ce gamin n’était nul autre que Jun Hyung. Ce dernier n’avait pas changé. Il était toujours aussi prétentieux, impulsif, manipulateur, influent. Cela ne dérangeait pas Doo Joon. Il regrettait simplement être son demi-frère. Seulement, comme à son habitude, il ne donnait pas son opinion. Le jeune homme solitaire préférait rester dans son coin à observer, traverser le lycée, la ville comme bon lui semblait.

« J’ai oublié plein de détails, mais on s’en fout… En fait, ch’ui pas doué avec les mots…
— C’est pas grave. Mais… comment t’arrives à l’ignorer ?
— Je n’y arrive pas, justement, avoua-t-il. Je me retiens juste de le frapper. »

Doo Joon se releva et tourna la tête. Cela ne m’avais pas empêché de voir qu’il semblait plein de remords – pour une fois que son visage n’était pas impassible. Je ne comprenais rien. Je ne le comprenais pas. Je ne pouvais pas le comprendre et je ne le comprendrais jamais. Parce que je n’étais pas lui, parce que je ne le connaissais pas encore.
J’avais posé spontanément ma main sur son épaule.
Plus un bruit. Juste la pluie.
Puis le silence.

Il avait vu son père accompagné Jun Hyung à l’école primaire, l’emmené au parc pour jouer au baseball, le gronder quand il était convoqué au bureau du principal… Ce n’étaient que des clichés. Mais c’était ainsi que Doo Joon s’était fait une idée sur cet homme.

« Ne répète jamais cette histoire. De toute manière, t’as personne à qui la raconter, hein ?
— Ouais, c’est pas faux, confirmai-je. Au fait, je crois qu’il a arrêté de pleuvoir… »

Un picotement. Au cœur. Puis sur l’arcade sourcilière.

« On pourrait essayer de sortir, proposai-je.
— Pas question. Tu ne t’es même pas changé et t’es encore tout trempé », fit-il remarquer.

Ah, oui, c’est vrai. J’allai alors me changer dans une salle, où les professeurs laissaient des tenues de rechange – propres, quand même – pour les élèves qui les avaient oubliées. Et je voyais le reflet que je jetais sur le miroir. Ce n’était que l’image d’un garçon mince, à peine musclé. Son torse était plus bleu que rose, des traces de brûlure lui parcouraient les bras, des cicatrices de coupures trainaient sur ses poignets. Heureusement, ce jogging de fortune cachait ses jambes bleues, et lieu d’égratignures diverses. Toutes ces empreintes de maltraitance – ou plutôt, la souffrance due aux persécutions – devaient expliquer ses absences répétées en cours de sport. Mais cette image me dégoûtait. Je détestais ce reflet qui n’était pas le mien.

« Je m’en doutais, dit-il. (Et je m’écroulais sur le sol. Je ne tenais plus sur mes jambes et devais m’asseoir.) Comment tu fais pour avoir d’aussi bons résultats scolaires, alors que tu te fais martyriser à ce point ?
— Je… Les cours du soir… »

Je ne trouvais plus les mots. Je me perdais. Dos contre le mur, yeux fixés sur le sol, je sentais mes mains tremblées. Je ne savais pas pourquoi, mais j’avais l’impression de devoir expliquer à mon camarade ce qu’on avait fait de mon corps pendant ces six dernières années. Mais je ne trouvais pas les mots. Je n’avais que mes yeux pour pleurer. Je n’avais que mes mains frêles pour cacher mon visage.

« Dong Woon, c’est ça ? … »

Il parlait à voix basse. Il murmurait, presque. Et c’était la première fois que je voyais son visage aussi proche du mien, même à travers ce flot de larmes. Ne t’approche pas. Ne me regarde pas. Quelques mots que je n’arrivais même pas à prononcer. Les larmes continuaient de tomber. Le nœud commençait à se former au fond de ma gorge. L’asphyxie me guettait. Mon souffle commençait à s’accélérer. Et comme s’il y avait été obligé, Doo Joon s’approcha de moi. Il me regarda. Puis ses bras m’entourèrent. Dégage. Un petit mot que j’aurais aimé lui balancer dans la gueule. Parce que dans le fond, je n’appréciais pas la pitié. Je ne voulais pas qu’il me serre contre lui par pitié. Je ne voulais pas qu’il prenne pitié de moi comme il l’avait fait sur le toit. Mais est-ce que je voulais vraiment qu’il parte ? Qu’il lâche ce pauvre gamin en pleurs ?

« Laisse-moi t’aider. S’il te plaît. »

Il murmurait toujours, avec une voix grave et profonde. Il soufflait ses mots simples, courants, comme s’il crachait la fumée de tabac depuis le toit du lycée. Son souffle entrait en contact avec ma peau humide et glacée. Ses mains se collaient aux bleus que j’avais sur le dos. Sa joue s’approchait dangereusement de mon visage. La douceur boisée des muscs blancs imprégnées sur sa peau, la fraîcheur de son parfum me donnait des frissons. Je m’enivrai de son odeur. Et ses lèvres vinrent embrasser les miennes. Comme son parfum, elles étaient sucrées et m’avaient laissé quelques frissons dans le cou. Les larmes coulaient de moins en moins alors que les baisers de Doo Joon m’envahissaient. Ses mains descendaient de mes épaules, traversaient mon corps et s’arrêtaient sur ma poitrine pour me redresser. Nos mains s’attachaient. Je ne pouvais pas le repousser. Je ne voulais pas le repousser. Mais je ne voulais pas rester comme ça avec lui. Ce que je vivais là – ce que je m’apprêtais peut-être à vivre, oui – me plaisait. Mais ce n’était pas ce que je voulais.

« Alors arrête, soufflai-je.
— Pardon. Excuse-moi…
— Ne t’excuse pas, rétorquai-je. Ce n’est rien…
— Mais je… (Il fronça les sourcils.) Oublie-moi. »

Il se releva, prêt à déguerpir.

« Non, attends ! S’il te plaît ! »

Il s’arrêta, sans pour autant se retourner.

« Oublie-moi. Fais comme si on ne s’était jamais rencontré. »

Comme si cette nuit n’avait jamais existé.
Comme si ce n’avait été qu’un rêve.
Comme si…

* * * *

« Il a fait une crise, avant de se réveiller… ». « Vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas… ». « …parce qu’il devait être encore sous le choc… ». « …sûrement à cause des anti-fans… ». « …c’est le plus fragile… »

Des voix. Des voix inconnues à mes tympans, à ma mémoire. Des médecins. Des journalistes avec eux, sûrement.

Je me réveillai. Allongé sur ce lit d’hôpital. Mes doigts vinrent toucher le pansement qu’on m’avait collé sur l’arcade sourcilière gauche. J’ouvris les yeux tant bien que mal. Ce que je prenais pour l’équipe médicale et les journalistes ne se trouvaient pas dans la chambre. Lui non plus. Il parlait avec un médecin dans le couloir. J’avais entendu quelques phrases de leur discussion passer à travers l’ouverture de la porte. L’impression de ne ressentir aucune émotion me traversa le cœur. Pourtant, apercevoir Doo Joon, le leader de BEAST, c’était comme retrouver mes repères.

« Seobie va être jaloux, dis-je à voix basse, quand le grand brun entra dans la chambre.
— On s’en fout de lui. »

Ce qui compte, c’est que tu respires. Je respire. Je respirais malgré ces bleus qui avaient envahi ma poitrine, malgré ces égratignures qu’on m’avait dessiné sur les bras. Apparemment, les fans de MBLAQ s’étaient attaqués au groupe rival de celui qu’elles vénéraient. La scène avait eu lieu au moment où on était arrivés au stade, pour les répétitions du Dream Concert 2010 qui réunissait plus de vingt groupes et quelques artistes lancés en solo. Elles n’étaient pas armées, ces fans. Elles avaient simplement cédé à leurs pulsions agressives sans être conscientes de leurs actes, des conséquences de leurs actes, sans même chercher la cause de leurs actes. Ces gamines auraient dû s’entretuer, mais elles préféraient s’attaquer aux célébrités – Mir de MBLAQ se trouvait apparemment dans une des chambres de l’hôpital, en ce moment-même. On ne pouvait pas comprendre. Il n’y avait rien à comprendre, rien à expliquer. Comment expliquer l’existence des anti-fans ? On n’avait jamais entendu ce terme avant que la culture K-Pop ne se propage dans le monde avec l’aide d’Internet. Cela rappelle le cas des anti-fans SNSD, qui quelques années plus tôt en étaient venues aux coups de couteaux. J’aurais aimé qu’il y eût moins de blessés que de morts, afin que les gens se réveillent. Mais ça n’aurait rien changé. Il y aurait toujours eu autant de cons.

« Tu penses à quoi ? demanda Doo Joon, le regard vide et sur un ton monotone.
— J’ai peur. Vraiment peur… »

Il me fixait du regard, avec toujours autant de fierté. Puis il déposa un baiser sur mon front et commença à fredonner cette chanson qui nous remontait le moral, cette chanson qui nous faisait rire : Hakuna Matata. Pourtant, une partie de nous savait que quelques jours plus tard, on ne rirait plus autant. Peu importait. C’était le bonheur. Non. Pas le fait qu’il soit là avec moi, pas le fait qu’il chante avec moi. Ne plus ressentir ces angoisses, ces peurs, ces souffrances. L’absence de douleur physique et morale, ne serait-ce qu’un court instant : ça, c’est le bonheur.

THE END.
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Miya

Miya


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MessageSujet: Re: Comme si. (OS)   Comme si. (OS) I_icon_minitimeDim 9 Mai - 8:46

J'aime bien l'histoire Very Happy.
HAKUNA MATATA ♪
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maiki_rashu

maiki_rashu


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MessageSujet: Re: Comme si. (OS)   Comme si. (OS) I_icon_minitimeDim 13 Juin - 10:07

Bon maitenant que je connais un peu mieux les membres qui composent les BEAST j'ai pu lire cette version. Et heureusement pour moi tu as choisi ceux dont j'ai le plus de facilité à assimiler nom-visage! xD
Du coup mon avis reste le même que pour la version des PM, si ce n'est que je trouve que la fic passe effectivement meiux avec les BEAST du fait de leur âge. En tout cas c'était toujours aussi agréable à lire.
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MessageSujet: Re: Comme si. (OS)   Comme si. (OS) I_icon_minitime

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